Julie Nakache écrit de la poésie et des romans. Elle vit à Angoulême, y enseigne et se consacre à l’écriture. Ses livres sont publiés aux éditions Eidola, d’écarts, du Temps qu’il fait, des petites allées et du Passavant. On trouve aussi ses textes au sommaire de nombreuses revues (le Paresseux Littéraire, Sœurs, Miroir, Fragile revue de création, Poésie première et Hélas). Ses poèmes ont été traduits en Italien. Son travail a été présenté dans des journaux comme la Quinzaine littéraire. Elle donne parfois et en musique des lectures publiques de ses textes. En parallèle, elle co-dirige la revue Ou Bien feuille d’arts et de littérature.
Le sang des filles est une ode à la féminité dans ce qu’elle a de plus charnel mais aussi de plus éphémère. Il célèbre la vie et la mort, l’amour et la perte, et tout ce qui se transmet de corps en corps, de mémoire en mémoire, à travers des générations de femmes et de filles dont certaines ont connu la guerre.
Le sang des filles est une ode à la féminité dans ce qu’elle a de plus charnel mais aussi de plus éphémère. Il célèbre la vie et la mort, l’amour et la perte, et tout ce qui se transmet de corps en corps, de mémoire en mémoire, à travers des générations de femmes et de filles dont certaines ont connu la guerre.
Julie Nakache tire de l’ombre la destinée funeste d’une pauvre gouvernante, paysanne illettrée, qui fut la maîtresse de Rembrandt et la nourrice de son fils orphelin. La jeune Geertje Dircx, désirée puis chassée par le peintre – sans doute le plus grand artiste de son temps, qui se montra probablement, en cette circonstance, d’une « grande laideur morale » -, emprisonnée enfin dans des conditions inhumaines, nous apparaît sincère et fragile, mais elle échappe à la conscience moderne de l’auteur qui s’efforce de la faire revivre sans la trahir, sans lui prêter des aspirations féministes anachroniques. Et cette existence sacrifiée, détournée de sa trajectoire, « aussi fortuite qu’un coup de dés », permet à la jeune romancière d’interroger le sens de sa propre vie et de chercher, « dans le réel, un au-delà de la condition féminine ».
Julie Nakache tire de l’ombre la destinée funeste d’une pauvre gouvernante, paysanne illettrée, qui fut la maîtresse de Rembrandt et la nourrice de son fils orphelin. La jeune Geertje Dircx, désirée puis chassée par le peintre – sans doute le plus grand artiste de son temps, qui se montra probablement, en cette circonstance, d’une « grande laideur morale » -, emprisonnée enfin dans des conditions inhumaines, nous apparaît sincère et fragile, mais elle échappe à la conscience moderne de l’auteur qui s’efforce de la faire revivre sans la trahir, sans lui prêter des aspirations féministes anachroniques. Et cette existence sacrifiée, détournée de sa trajectoire, « aussi fortuite qu’un coup de dés », permet à la jeune romancière d’interroger le sens de sa propre vie et de chercher, « dans le réel, un au-delà de la condition féminine ».
Au milieu du Pacifique, un pêcheur solitaire s’en va se mesurer à Mano la Bleue. Dans les profondeurs de la nuit et de l’océan, résistera-t-il au chant d’amour de la femme requin ?
Au milieu du Pacifique, un pêcheur solitaire s’en va se mesurer à Mano la Bleue. Dans les profondeurs de la nuit et de l’océan, résistera-t-il au chant d’amour de la femme requin ?